SYBLO x SIDAS, LA CHAUSSETTE DE RUNNING QUI CASSE LES CODES

Sidas x Syblo, les chaussettes de running en collaboration avec les youtubeurs Syblo

À 18 ans, Baptiste Cartieaux fait tout plus vite que les autres. Courir, pour commencer. Avec des chronos stratosphériques qui positionnent cet adepte du cross et du 3000 mètres steeple parmi les plus grands espoirs de l’athlétisme français. Entreprendre, ensuite. Avec sa chaîne YouTube SYBLO, où ils rassemblent, aux côtés de son acolyte Lucas Vivin, près de 40 000 abonnés auxquels ils proposent des vidéos immersives à succès qui nous font entrer dans leur quête de haut-niveau, montrent les coulisses de leurs compétitions et popularisent la pratique de la course à pied auprès de la jeune génération. Partenaire de la première heure, convaincu par les valeurs de l’homme, séduit par le potentiel de l’athlète, nous sommes donc, chez Sidas, extrêmement fiers de lancer une paire de chaussettes de running en collaboration avec Syblo. Une « collab » à l’image de Baptiste Cartieaux : une chaussette taillée pour la performance avec un design percutant, pour défendre une vision décomplexée de la course à pied.

Au cœur de sa préparation pour la saison estivale, notre jeune athlète se livre sur cette « collab » et nous confie ses rêves, entre maillot bleu, titres et records. « Ok les sportifs ? »

 

FARTLEK, COMMUNAUTÉ & BONNE CHAUSSETTE

Chaussettes running Syblo x Sidas


Baptiste, raconte-nous, qu’est-ce que cela fait d’avoir un Pro Model à ton âge ? Est-ce une fierté ou une pression que d’avoir une chaussette de course à pied à son nom ?

Franchement, je ne ressens aucune pression. Il s’agit juste de kiffer le projet, avec le sourire. C’est une réelle marque de confiance de la part de Sidas. La preuve que c’est un partenaire qui souhaite aller au-delà du simple équipement matériel, un allié qui nous accompagne vraiment... Cet aspect collaboratif, je l’envisage comme l’un des socles de ma performance : certes je pratique un sport individuel, mais l’esprit d’équipe y occupe une place primordiale. Cela me porte de me sentir soutenu. Je concède aussi un peu d’impatience car j’ai hâte de voir comment réagit la communauté. Lors de la saison de cross, certains abonnés de notre chaîne YouTube sont venus me voir avec des chaussettes Sidas. Je suis curieux de savoir s’ils vont se montrer au rendez-vous de cette collaboration !

En quoi cette chaussette se révèle à ton image : performante ?

Nous sommes partis d’un modèle que j’apprécie pour sa technicité, sa finesse et sa respirabilité : la chaussette Run Feel. J’aime courir avec lors des séances rapides car sa finesse décuple selon moi les sensations de vitesse et de dynamisme. Je trouve le pied extrêmement réactif à l’intérieur. Les trois bandes de grip anti-dérapantes permettent également de gagner en stabilité, limiter les micro-frottements et ainsi le risque d’ampoules.

 

Quelles sont les qualités qui font selon toi une bonne chaussette de course à pied ?

La principale des qualités, c’est la durabilité ! Il faut impérativement que la chaussette soit résistante, qu’elle ne se troue pas au bout de seulement quelques entrainements intenses. À cet égard, chez Sidas, on est plutôt pas mal ! J’ai reçu mes premières chaussettes il y a près de 2 ans : depuis, malgré les kilomètres, elles n’ont pas bougé ! Ensuite, je citerais le confort, la respirabilité et la technicité parmi les caractéristiques qui définissent une bonne chaussette de course à pied.

 

Tu n'as jamais eu de problème de pied depuis que tu portes ces chaussettes ?

Honnêtement, non ! Depuis que je porte ces chaussettes, je n’ai pas eu une seule ampoule. J’ai bien reçu le kit de soin du pied que m’a envoyé Sidas, mais à chaque fois que je le sors, ce n’est pas pour moi : c’est pour aider les copains qui ont des problèmes de pied ! Coïncidence ? Je ne pense pas ! (Clin d’œil)

 

Comment choisis-tu les chaussettes de course à pied que tu utilises ? Adaptes-tu le modèle en fonction du type de séance ?

Oui, exactement ! Pour les fartleks natures et les footings longs, j’utilise les chaussettes Trail Protect pour le confort qu’elles procurent. Pour les séances plus spécifiques sur piste, je privilégie les Run Feel ou Run Anatomic qui décuplent les sensations de vitesse et de dynamisme.

 

TOUR DU MONDE, TRICOT & CARTE BLANCHE

Peux-tu nous raconter la genèse de cette collaboration ? Comment t’es-tu retrouvé avec une chaussette à ton nom ?

Axel, responsable des athlètes et de la création de contenu chez Sidas, a émis l’idée de cette collaboration en décembre 2021. Directement, avec Lucas, mon acolyte, nous avons adhéré au projet ! On a profité de cette opportunité afin de refondre le logo de SYBLO, qui commençait à vieillir. Dès janvier nous avons reçu les premiers prototypes et en février, nous nous sommes rendus sur place, dans les ateliers de production, au Portugal. C’est assez impressionnant, le lieu est immense. On peut dire que ça tricote fort ! Cette visite nous a fait prendre conscience de l’ampleur du projet ! D’un point de vue des valeurs, il était important que ces paires de chaussettes ne soient pas fabriquées en Chine, qu’elles ne fassent pas le tour de la planète avant d’arriver aux pieds de notre communauté...

Syblo x Sidas, la chaussette de running qui fait du bruit


Le design de la chaussette se veut atypique tout en restant élégant. On sent que vous vous êtes fait plaisir, avec la volonté de proposer une chaussette qui vous ressemble...

Axel nous a laissé carte blanche ! On a conçu nos chaussettes comme si nous nous étions emparés des machines et que ces dernières tissaient le moindre de nos désirs. Nous avons intégré les codes graphiques de notre chaîne YouTube, avec notre logo, ces deux nuances de vert, et ajouté une petite pointe de malice à l’intérieur de la chaussette que je laisserai aux coureurs le soin de découvrir !

 

CALI, 8’38 & ANGLAIS LV1

Nous venons d’évoquer tes pieds, tes chaussettes... mais le plus important, c’est que ces éléments t’amènent le plus loin possible en termes de performance. Pour entamer ce chapitre-là, quel regard portes-tu sur ta saison hivernale ?

J’ai réalisé une préparation hivernale studieuse, avec en point d’orgue les Championnats de France de cross, où je décroche une médaille de bronze qui me satisfait pleinement au vu de la concurrence. Après, j’ai toujours un peu de mal avec l’hiver. J’aime l’enjeu. Or, on se souvient rarement des athlètes qui ont performé à cette période, que ce soit en salle ou sur les cross... Ce qui compte, c’est l’été ! Ceux qui marquent l’histoire de l’athlétisme sont ceux qui performent sur les grands championnats. 

Quels seront les temps-forts et objectifs de ta saison 2022 ?

Elle commencera par les interclubs, les 8 et 22 mai prochains, pour se roder. Ensuite, je participerai à 2 meetings, le 28 mai et le 11 juin, dans l’optique d’aller chercher mon record personnel sur 3000 m steeple (8 min 49) et éventuellement le record de France Juniors (8’38). Suivront les Championnats de France Élite, le 26 juin, afin de se confronter à plus fort que soit, pour simuler la situation d’adversité que je devrais rencontrer aux Championnats du Monde. Du 15 au 17 juillet, j’essayerai de remporter le titre de Champion de France Juniors sur 3000 m steeple et décrocher dans le même temps la qualification pour les Championnats du Monde Juniors qui auront lieu à Cali, en Colombie, fin août. Ce sera alors l’heure de mon gros objectif de la saison : rentrer dans le top 8 de cette finale mondiale, chasse gardée des athlètes africains. Il n’y aura rien de facile, mais j’y crois, je m’entraîne dur pour cela !


Pour atteindre ces objectifs, as-tu fait évoluer des choses au niveau de l’entraînement par rapport à l’année dernière ? Quelle pierre as-tu prévu de rajouter à cette carrière que tu construis comme un édifice pérenne ?

En accord avec mon coach, j’augmente progressivement la charge d’entrainement. Que ce soit en termes de qualité ou de volume. Petit à petit, je fais plus de kilomètres et je réalise plus de séances intensives. Aujourd’hui, je m’entraine 14 fois par semaine. Chaque jour, du biquotidien. Le lundi et le vendredi, je ne fais pas trop monter le cœur : c’est musculation et footing au programme ; le mercredi et le samedi, des fartleks natures plus ou moins long ; et les mardi, jeudi et dimanche, c’est grosse séance de piste, c’est là que l’on envoie !

 

Quels sont tes rêves ? Ce serait quoi pour toi une carrière réussie ?

Ma carrière sera réussie si je participe un jour aux Jeux Olympiques. C’est le Graal de tout coureur ! Je ne m’enflamme pas mais si je continue ainsi, je pense que ça peut le faire pour les JO 2028. (Un silence) Oui, les JO ce serait incroyable ! C’est vraiment à la limite entre le rêve et l’objectif. C’est réalisable mais uniquement avec de la consistance et de la régularité.

 

Et sur les à-côtés, notamment concernant cette chaîne YouTube qui compte près de 40 000 abonnés et qui t’a permis de populariser la pratique de la course à pied auprès des jeunes, quelles sont tes ambitions pour 2022 ?

Avant toute chose, j’essaye de m’investir dans mes études, afin de me constituer un petit bagage professionnel de sécurité, au cas où. Je suis en Licence 1, en STAPS. Le rythme était haletant cet hiver mais je devrais pouvoir lever le pied afin de me consacrer à l’athlétisme cet été ! Concernant YouTube, le kiff serait de franchir la barre mythique des 50 000 abonnés, même si ce chiffre ne traduirait finalement pas grand-chose de l’engagement de notre communauté. Notre volonté, avec Lucas, c’est simplement de pousser le délire, voir jusqu’où cela peut aller, sans se prendre la tête, en demeurant avant tout le plus performant possible en tant qu’athlètes. Une belle année 2022 serait de réussir notre tentative d’internationalisation. En effet, nous allons essayer de traduire les plus grosses vidéos en anglais. Je suis encore d’un piètre niveau mais je prends le défi comme une opportunité. La maitrise de l’anglais, cela fait partie du package global de l’athlète de haut-niveau que j’ai envie de devenir...

 

INTERVIEW À PIED D’ŒUVRE

Ton athlète préféré ? Yoann Kowal. Au-delà de ses grandes performances sur cette discipline du 3000 m steeple que l’on partage, j’ai énormément apprécié l’échange que j’ai eu avec lui cet été à Font-Romeu. Il est de très bon conseil. Il n’hésite pas à sortir des sentiers battus, à être précurseur dans pas mal de domaines... C’est très inspirant !

 

Ta séance préférée ? 6 x 1000 m ! Ou plutôt 8 x 1000 m, car je suis un peu gourmand ! Allure 10 kilomètres, avec une récupération de 100 m, au trot.

 

Ton petit rituel d’avant-course ? Aller déposer les caméras sur le bord de la piste afin de filmer les images qui me permettront ensuite de réaliser les vidéos.

 

Ton péché-mignon après une course réussie ? Une bonne glace. Chocolat-amandes !

 

L’autre sport où tu prends ton pied ? Le duathlon, qui consiste à alterner vélo et course à pied. J’adore la dimension spectaculaire et imprévisible de ce sport. Rien n’est écrit à l’avance. C’est ultra-stratégique. Je compte d’ailleurs y revenir dès septembre, après la saison sur piste, afin d’essayer de rentrer dans le top 15 de la première division nationale.

 

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